QUI SOMMES-NOUS ?
QUI SOMMES-NOUS ?
Nous sommes quelques individus appartenant ou non à divers collectifs de solidarité avec la rébellion zapatiste et le mouvement populaire d’Oaxaca à travers la France et la Belgique. Certains d’entre nous ont été les témoins directs du mouvement populaire d’Oaxaca et ont suivi de très près son développement dans ses différentes phases, d’autres ont fait partie de la Commission civile internationale d’observation pour les droits humains qui s’est rendue sur place en décembre 2006 et janvier 2007.
À Oaxaca, nous avons participé à de nombreuses et diverses manifestations publiques, nous avons assisté aux assemblées de l’APPO (Assemblée populaire des peuples d’Oaxaca), aux assemblées régionales dans la Sierra Norte et dans l’isthme de Tehuantepec et voyagé dans la région triqui. Nous avons rencontré différents acteurs du mouvement et avons régulièrement écrit des articles pour diffuser l’information en Europe. Nous sommes toujours en contact avec des acteurs du mouvement social et soutenons leurs actions.
Dans le passé, nous avons déjà construit et fait circuler des expositions pour se faire l’écho de la parole zapatiste et dénoncer la brutale répression vécue par les communautés de Loxicha (Oaxaca). Les tribulations de ces expositions en France et en Belgique ont quelquefois permis de faire vivre des projets avec le Mexique et, en Europe, de tisser les fils d’un assez vaste réseau informel de solidarité.
1997 Un bateau pour le Chiapas
Expo-installation
1999 Los niños de Loxicha, queremos la
paz !
Expo de
photos et peintures d’enfants
2000 Maïs
Expo de dessins
des prisonniers de Loxicha
2001 Les Jardins potagers de Santiago Nu
Yoo
Expo de photos et
peintures d’enfants
2001 La Marche de la couleur de la
terre
Expo photos,
peintures, affiches, projections…
2005 Familles zapatistes affectées par le passage de
l’ouragan
Stan – Expo de photos
Ces initiatives sont des projets de communication avant tout, où la dimension artistique cède la première place à l’information et à la solidarité. Nous avons toujours privilégié le collectif et l’anonymat, et constamment cherché à nous autofinancer en nous refusant tout contact avec les institutions et les sponsors commerciaux.